31 août 2018
LES ETUDES POUR PIANO DE SCRIABINE
Enfin, bien qu'elle ne fut pas la première, une gravure intelligente de l'intégrale des Etudes pour piano de Scriabine.
Son urgence était évidente, et le choix de l'interprète ne le fut pas moins puisque l'éditeur, qui n'est pas un "MAJOR", a su faire le choix d'un interprète jeune, encore trop peu connu et célébrè sur nos scènes nationales : Andrei Korobeinikov.
Un remarquable enregistrement réalisé à Munich en mai 2013, et qui a bien tardé à venir aux oreilles du public.
Pour qu'enfin on ne nous rabatte plus les oreilles avec la... [Lire la suite]
26 avril 2018
A PROPOS DES PRÉLUDES DE RACHMANINOV

22 avril 2018
UNE JEUNESSE TOUT EN MUSIQUE.

08 avril 2018
MATIERE A REFLEXION
"Lorsque je considère la manière dont la scène orchestrale s'est transformée ainsi que le déclin de la présence de la musique classique à la radio et à la télévision – chaque cas ayant bien sûr ses particularités – il est clair que c'est un recul de celle-ci qui se profile. Elle est de toute évidence écartée des priorités actuelles. Bien sûr, sa place n'a jamais été au tout premier plan, surtout là où on la célébrait selon une conception élitiste, dans des maisons d'opéra ou des salles de concert avant tout au service d'un certain... [Lire la suite]
01 avril 2018
L'INTÉGRALOMANIE
L'heure est grave, pour l'avenir du CD autant que pour celui des éditeurs discographiques. C'est à se demander s'ils en ont conscience. Je précise que je laisse ici délibérément de côté tout ce qui a trait au streaming et autres modes de diffusion de la musique classique.
Rappelons nous…
Depuis maintenant une bonne trentaine d'années, le discophile a découvert une nouvelle qualité de publications discographiques, consacrées dans un premier temps à la production d'intégrales des œuvres des plus grands compositeurs[i], puis, marketing... [Lire la suite]
09 août 2017
DIEU EST MORT LE 30 NOVEMBRE 1954
J'en aurai mis du temps, pour en parler. Mais est-ce si facile, à chacun, de parler de son Dieu ?
Encore faut-il qu'ici je nomme le mien : Wilhelm Furtwängler.
Furtwängler naquit en 1886, l'année de la disparition de Liszt, onze ans avant la mort de Johannes Brahms (1897). Il eut toute sa vie une forte affinité pour la musique de Brahms : son grand-père maternel fut en effet l'ami du compositeur.
Mon plus profond regret : ne l'avoir jamais vu diriger de mes yeux. Sans doute une raison de plus pour que j'en aie fait mon Dieu…
... [Lire la suite]
16 juillet 2017
SOUVENIRS DE VLADO PERLEMUTER

25 juin 2017
POUR OU CONTRE MUSIQUES EN FÊTE ?

27 avril 2017
KARAJAN ET LE DEUSTCHES REQUIEM DE BRAHMS
Etonnant. Surprenant.
J'ai toujours donné la priorité à ce chef et ses solistes pour cette œuvre de Brahms dont je possède 7 versions dans ma discothèque. Chronologiquement, la première que j'ai eue, est précisément la version de Karajan, à la tête des Berliner Philharmoniker, avec pour solistes Gundula Janowitz, et Eberhard Waechter, avec les chœurs des Wiener Singverein. Publiée par Deutsche Gramophon en 1964 dans ces coffrets promotionnels qui sortaient traditionnellement à l'époque des fêtes de fin d'année, j'avais acheté... [Lire la suite]
04 avril 2017
LA DERNIÈRE GRAVURE DE DGG CONSACRÉE AUX "WIENER : UNE PURE MERVEILLE !
Et oui, les temps changent... même chez les Wiener Philharmoniker, comme l'écrivait Christian Merlin dans la conclusion de son dernier - et remarquable ouvrage consacré à la biographie de cette formation, dont la lecture devrait être indispensable à tous ceux qui se ruent au Théâtre des Champs-Elysées, et qui restent béats à leur écoute, mais ignorent souvent tous les tracas de cette formation - ce n'est plus à Decca, mais aujourd'hui à DG que les Wiener confient leurs enregistrements ! Preuve manifeste qu'ils ont aussi su effacer les... [Lire la suite]